Publié le : 10 septembre 202123 mins de lecture

Christine Stutz est une passionnée des mandalas. Elle anime des stages qui ont pour vocation l’ouverture de la conscience de Soi. Christine Stutz s’inscrit dans la pure tradition jungienne qui explique que le mandala est un moyen d’expression de l’inconscient. En permettant à l’individu de relâcher le contrôle du mental, la réalisation de mandalas ouvre une porte sur notre monde intérieur, si riche et pourtant si secret.

Christine Stutz a ouvert à Vibrance Magazine les portes du chemin qui mène à l’unification de l’homme.

Christine, pouvez-vous nous présenter le parcours qui vous a menée aux Mandalas ?

Les Mandalas m’attendaient à la croisée de plusieurs de mes chemins au début des années 1990.Professionnellement, j’étais Professeur des Ecoles Spécialisé, et je travaillais avec des Adolescents Déficients Intellectuels ou Malades Mentaux, dont le point commun était d’avoir un mode de pensée très déstructuré.

J’étais donc constamment à la recherche d’outils de recentrage. Personnellement, j’étais en train de faire un travail de thérapie en Gestalt – Thérapie Analytique*, et j’avais également entrepris de me former en Psychopathologie Clinique, ainsi qu’en Psychanalyse Jungienne et en Symbolique à l’Institut SAVOIR PSY à Paris.

C’est dans le cadre de ce cours de Symbolique que j’ai entendu pour la première fois le terme de Mandala. Le propos du Professeur était de nous parler de la fonction symbolique, et de l’usage que Jung a fait du Mandala dans son travail, mais il a également été question du Mandala sur les plans anthropologique, ethnologique, et pédagogique.

Dans un premier temps, c’est ce dernier point qui a attiré mon attention, à cause de mes questionnements professionnels. Ayant entendu parler de Marie Pré, qui est la pionnière en France du Mandala – Dessin Centré, en tant qu’outil de recentrage, je suis allée me former avec elle, dans le souci d’augmenter l’aide que je pouvais apporter à mes élèves.

Au vu des résultats obtenus, les Mandalas ont commencé à vraiment me passionner, au- delà du plan pédagogique et à titre personnel. Je me suis intéressée à l’usage que l’on peut en faire sur le plan spirituel, mais suis surtout revenue avec le plus grand intérêt vers les travaux de Jung, à son utilisation du Mandala avec ses patients, et à leur contribution dans ses travaux sur l’alchimie et l’élaboration du Processus d’Individuation. C’est dans cet esprit de travail sur Soi et du Mandala en tant que support de projection de l’Inconscient que j’ai créé mes stages individuels et mes ateliers de groupe à partir de 1997.

Pourquoi le choix de la pensée jungienne pour transmettre le message des Mandalas ?

Personnellement, je ne pense pas qu’il existe UN message intrinsèque des Mandalas.

Les Hommes en créent dans toutes les cultures et depuis la nuit des temps, mais dans des intentions, et avec des objectifs très différents, même si je vous accorde qu’ils ont sans doute tous en commun de s’en servir pour exprimer symboliquement leur vision du monde et leur relation au divin.

Les Mandalas sont multiples ; ils sont supports de méditation dans le champ spirituel, (pour les Bouddhistes Tibétains, par exemple) ; supports de guérison dans le champ de la médecine chamanique, (pour les Médecine-Men Navajos, par exemple ); supports d’élargissement de la pensée, au service du travail intellectuel, (quand ils sont schémas heuristiques, par exemple) ; supports de projection de l’Inconscient dans le cadre de la Psychologie Analytique de Jung, et je ne cite pas ici toutes leurs autres fonctions.

Le point commun, c’est que la réalisation de Mandalas permet d’aller au centre, de donner une place, sa place, à chaque élément d’une structure, et de les organiser dans un cadre, autour de ce centre. En cela, réaliser un Mandala est un acte structurant.

Dans ma pratique, réaliser un Mandala n’est pas un but en soi ; c’est un moyen. Dans ce contexte, le Mandala est un outil de travail sur Soi.

Pourquoi avoir choisi les Mandalas pour aborder la Pensée Jungienne ?

Tout Mandala est un univers, et l’univers est rempli de Mandalas ; il est lui-même un Mandala ; (système solaire). En approchant simultanément l’infiniment grand et l’infiniment petit, l’approche scientifique nous le montre chaque jour ; (cellules, noyaux, atomes).

Bien avant de le savoir, l’Homme a ressenti que cette structure d’organisation géométrique autour d’un centre est omniprésente dans le monde du vivant. D’ailleurs, l’œil et le cerveau, avec lesquels il observe le monde, sont eux-mêmes des Mandalas ! Il en crée depuis l’aube de l’Humanité, et partout sur la terre, depuis qu’il est « Sapiens – Sapiens », l’Homme qui pense sur lui- même, et qu’il a développé la Fonction Symbolique.

Chacun d’entre nous s’inscrit, consciemment ou non, dans cette démarche, dès le début de sa propre histoire, et fait passer l’énergie et le calme structurant de la pratique du Mandala dans son corps, en le mettant en mouvement dès les premiers jeux de l’enfance : rondes, marelles, toupies…

Les chemins de vie et d’éveil de chacun font que cette pratique spontanée du Mandala continue ou non, devient de plus en plus consciente ou non : pensez à la danse, au potier travaillant à son tour, à la cible de la fête foraine, mais aussi au Derviche Tourneur, au moine Tibétain et son moulin de prière, à Gandhi filant son rouet …

Ce qui structure le monde extérieur structure également le monde de nos émotions et de notre intuition. Et c’est là qu’on revient à Carl Gustav Jung. Il ne s’y est pas trompé quand il a rencontré le Mandala, tout d’abord pour lui – même, puis avec ses patients, et dans le cadre de ses travaux d’élaboration du processus d’individuation. Pour lui, le Mandala n’est pas seulement un compagnon de voyage dans nos pérégrinations vers le Soi ; il en est le chemin. Le chemin qui mène au centre, au centre du Soi.

«Réaliser un Mandala, c’est rejouer pour Soi – même, au sein de son propre univers, la création du monde ; c’est se donner vie et sens au sein, et à partir de son propre chaos ». Elizabeth Leblanc. Savoir Psy, Paris.

Quels sont les principes de Carl Gustav Jung sur lesquels vous vous basez pour animer vos ateliers ?

Jung, et c’est fondamental, a commencé à faire lui-même des Mandalas, avant d’entreprendre une démarche intellectuelle à leur sujet. En 1916, en pleine période de dépression grave, il a tout d’abord senti, avant de la comprendre, la puissance de cet outil, et a eu, de ce fait, l’intuition de l’existence d’un concept fondamental pour la suite de son travail : l’Inconscient Collectif. L’expérience a précédé sa pensée, ce qui lui a permis d’élaborer ensuite sa démarche intellectuelle.

C’est ensuite qu’il a mis en forme et pu décrire l’archétype essentiel de l’Inconscient Collectif, le processus d’individuation, c’est-à-dire l’ensemble des étapes dans le cheminement vers le Soi, dont l’une des représentations est le Mandala. Le processus d’individuation est un archétype essentiel, car constitutif du développement de la personne humaine dans sa globalité, le Soi étant l’archétype du centre, de la totalité.

L’Individuation est un processus dynamique de croissance et de maturation, et il existe en chacun d’entre nous », dit- il.

Il a également formulé l’idée que chaque Etre Humain est donc, sa vie durant, en recherche de son point central, consciemment ou non, et que ce développement n’est pas linéaire, mais circulaire, en spirale ; c’est la notion de circumambulation.

En 1928, le Mandala a également participé à l’élaboration du concept de Synchronicité, quand Jung fait l’expérience d’un fait troublant : recevoir d’un ami un manuscrit chinois, le « secret de la fleur d’or » qui traite du château jaune, germe du corps immortel, au moment même où, de son côté, il était en train de peindre un Mandala dont le centre représente un château fort en or.

Pour Jung, les coïncidences sont signifiantes, et établissent une connexion acausale entre des états psychiques et des événements objectifs. Travailler le Mandala dans une optique jungienne, c’est donc pour moi aller puiser des images symboliques dans l’Inconscient collectif, présent en chacun de nous, et les mettre au monde à un moment précis, et sous une forme particulière et personnelle. C’est à la fois se relier au « grand tout » et devenir unique. Il y a vraiment des points communs entre le rêve et le Mandala, et ni l’un, ni l’autre ne peuvent à mon avis être interprétés « de l’extérieur ».

L’accompagnant de la personne qui réalise un Mandala ne peut, je pense, qu’attirer son attention sur ce qu’elle « donne à voir », et l’aider à en parler.

Les ateliers que vous proposez s’adressent-ils davantage aux personnes qui sont dans une démarche thérapeutique ?

Non, pas du tout. Je propose 2 ateliers de groupe et 7 stages individuels qui sont ouverts à tous ceux qui ont envie de réaliser des Mandalas, sans qu’il y ait besoin de savoir dessiner, ni d’être en thérapie. Néanmoins, il est vrai qu’il convient que ces personnes soient dans le désir et la curiosité d’aller vers leur monde intérieur.

Les 2 ateliers sont de structures identiques : des modules de 4 journées indépendantes les unes des autres, réparties sur une année. Au cours de ces journées, chaque personne réalise un Mandala personnel, tout en profitant de temps d’échanges en groupe et d’une convivialité que je favorise volontairement. Ces ateliers sont une excellente approche de la pratique du Mandala dans le cadre du développement personnel. Chacun s’implique autant qu’il le souhaite et ne s’engage pas au-delà d’une journée.
Les stages, eux, sont individuels et correspondent à 20 heures de travail réparties en 4 séances, au cours desquelles la personne réalise 4 Mandalas qui forment un tout autour d’un thème. J’accompagne le stagiaire tout au long du stage, au cours duquel il va alterner les étapes de réalisation de ses Mandalas, les temps de visualisation qui les précèdent, et les temps de « feed – back » qui les suivent. Les stages individuels sont personnalisés autant que possible, et construits à partir de la problématique que la personne m’aura présentée au préalable.
Il existe 2 stages « généraux », qui permettent de faire le point, de faire un bilan, de travailler un projet ou la suite de son chemin de vie ; ce sont les stages « Mandalas » et « Labyrinthe ».

Les 5 autres stages sont plus ciblés : « Si loin, si proche » est réservé aux parents de malades mentaux, « Féminine Attitude » est réservé aux Femmes, « Albums de Familles » propose de travailler sur nos origines et notre héritage, « Escale Nacrée » sur notre vécu corporel, et « Le cœur Gros » s’adresse aux personnes qui sont en surcharge pondérale. La particularité des 2 derniers stages est qu’il est possible, si la personne le souhaite, de les faire en Bretagne, couplés avec une cure de thalassothérapie.

Dans les ateliers tout comme dans les stages, je propose la structure du Mandala, le « cadre », qui n’est jamais deux fois le même, et qui reprend les formes géométriques et les symboles que l’on retrouve dans toutes les cultures. La personne qui réalise le Mandala est libre de se l’approprier comme elle l’entend, et d’y déposer les images qui lui sont venues pendant les temps de visualisation au cours desquels je lui propose des pistes de travail.

Je procède de cette façon parce que j’ai envie que la personne soit dégagée de la contrainte du cadre-contenant, afin qu’elle puisse se concentrer sur ses images intérieures, ses émotions, et qu’elle les laisse monter en elle jusqu’à sa main, qui pourra ensuite les déposer dans un cadre prêt à les accueillir.

Les personnes qui viennent faire un stage avec moi sont plus souvent en thérapie que celles que je rencontre dans les ateliers ; ou bien sur le point de décider d’en commencer une.

Le travail avec les Mandalas leur permet de faire le point sur leurs motivations. Il arrive aussi que des personnes viennent « relancer la machine » quand leur travail analytique stagne un peu de leur point de vue, et qu’elles manquent d’énergie pour le continuer. Je rencontre aussi des personnes qui ont effectué un long parcours analytique, et qui souhaitent aborder à nouveau, et autrement, une situation personnelle. Mais il en est d’autres pour qui la décision d’aller faire une thérapie n’est pas à l’ordre du jour, et pour qui le stage ou l’atelier va être la première démarche d’introspection.

J’insiste sur le fait que mes activités et ma posture ne sont pas celles d’un psychothérapeute, et que mes stages sont plutôt des relais, des passerelles, qui permettent, comme je le dis souvent, de « faire le plein » d’images symboliques pour nous donner la force de continuer notre travail de thérapie, ou simplement repartir dans notre vie en se connaissant mieux ; il convient donc de parler de stages expérientiels de développement personnel.

Vous avez choisi le thème des 4 saisons pour l’un de vos ateliers. Pouvez-vous nous présenter le concept ?

La plupart du temps, nous vivons à un rythme fou dans le quotidien, et sommes trop souvent coupés de la nature. Nous ne profitons plus de l’énergie bien particulière que chaque saison nous propose et nous incite à adopter. Pire encore, nous ne prenons plus garde aux moments de transition, n’accordons plus d’importance aux périodes de passages, aux charnières du temps. Ainsi, qui, aujourd’hui, traverse « en conscience » les jours d’équinoxe et de solstice. Et pourtant, lui nous traverse, ce flux vital d’énergie, il nous traverse corps et âme, comme il traverse tout le monde du vivant.

L’atelier des Mandalas des 4 saisons propose de venir fêter ensemble ces moments de passage et de transformation. J’invite également à reprendre contact avec un élément associé à chacune des saisons, ainsi qu’avec une polarité féminine que nous portons tous en nous, les hommes y compris, mais dont nous sommes la plupart du temps coupés.

  • Ainsi, au Printemps, travaillons- nous sur l’élément « eau » et sur l’énergie « jeune fille » ;
  • en été, sur l’élément « feu » et sur l’énergie de la femme solaire ;
  • à l’automne, sur l’élément « air » et sur l’énergie maternelle au sens large ;
  • et l’hiver sur l’élément « terre » et l’énergie de la vieille femme sage.

Ces ateliers sont la plupart du temps très joyeux, car ils nous relient et nous enracinent.

Vous proposez pas moins de 7 stages aux thématiques bien définies. Le Mandala est-il pour vous un véritable outil de travail et de thérapie avec des résultats immédiatement quantifiables ?

Comme je l’ai développé plus haut, personnellement, je ne propose pas de travail de thérapie, mais je souhaite néanmoins que venir faire des Mandalas avec moi puisse contribuer à la thérapie des personnes que je reçois et qui ont par ailleurs un Thérapeute ; telle est ma pratique. Je connais des psychothérapeutes, jungiens ou non, qui incluent des séances de réalisation de Mandalas dans le travail thérapeutique qu’ils proposent à leurs patients.

Nous avons sans doute en commun la conviction que l’expérience du Mandala peut nourrir la conscience, et ouvrir à une autre dimension de l’Etre que la parole. Dans la mesure où réaliser un Mandala nous incite à activer notre production d’images symboliques et fait fonctionner prioritairement notre cerveau droit, oui, je pense que cela favorise notre cheminement vers notre Unité.

Le Mandala est donc incontestablement un outil de travail sur soi, qui, je pense, a des points communs avec le rêve, dans le sens qu’il « donne à voir » ce qui monte de nos profondeurs, de nos zones d’ombre, que notre parole n’aurait peut-être pas laissé passer, tant notre capacité de censure est grande. Je dis toujours que le Mandala le plus « efficace » en termes de travail sur Soi, c’est celui qui nous étonne le plus, qui a le plus échappé à notre contrôle, et qui sort « d’on ne sait où » !!

Mais la mise en mots qui va suivre est complètement indispensable pour que le travail d’intégration et de transformation se fasse, et, comme pour le rêve, c’est ce que son auteur en dit qui compte ; pas le Mandala. Non, le Mandala n’est pas magique ! Et l’on ne sort pas du stage complètement transformé ! Après lui, il s’agit de continuer sa vie, toujours en chemin, mais avec quelques outils en poche en cas de panne…

Pouvez-vous développer le déroulement et les objectifs des stages « Le cœur gros » et « Féminine attitude » qui s’adressent respectivement aux personnes en surcharge pondérale et aux femmes ?

J’ai crée un stage s’adressant aux personnes en surpoids, parce que je suis frappée qu’on ne parle pratiquement jamais de leur tristesse, et parce qu’elles ont peu d’espaces d’expression disponibles pour déposer la honte et le manque d’estime de Soi qui les habitent bien souvent. Je connais ce problème de l’intérieur, ayant moi-même une surcharge pondérale depuis l’enfance.

Les temps sont durs pour nous, les conventions sociales actuelles nous demandent d’affirmer « que l’on va prendre en main » ce problème, et tout entreprendre pour devenir conformes aux normes en vigueur, alors que nos efforts sont bien souvent voués à l’échec, du moins tant que notre désir de perdre du poids ne vient pas de l’intérieur.

«Perdre » du poids, voilà, tout est dit !! Comment s’investir positivement dans un projet qui est formulé aussi négativement ?

C’est comme si nous devions nous regarder « de l’extérieur », avec un jugement dans le regard, ce qui nous coupe complètement de notre ressenti et de notre vécu corporel.

Et si ces kilos en trop parlaient de notre histoire ? Et s’ils avaient une fonction de protection ? Avant de s’en débarrasser, comme de quelque chose qui n’est pas à nous, qui n’est pas nous, il me semble qu’il convient de les accueillir et d’être attentif à ce qu’ils cherchent à nous dire. «Le cœur gros » permet de renouer le dialogue avec notre corps, et de sortir de l’ambivalence par rapport à lui.

J’ai personnellement expérimenté que ce travail est vraiment intéressant et mobilisateur, pour éventuellement prendre la décision, ensuite, d’entreprendre un travail de perte de poids avec un suivi médical… A moins qu’il n’aboutisse à une réconciliation avec Soi qui nous permette de nous assumer tels que nous sommes !

« Féminine Attitude » propose aux femmes de travailler sur qui elles sont aujourd’hui, et d’examiner les différents rôles qu’elles ont à tenir. Le stage permet aussi de se relier aux Femmes de notre vie qui furent et sont importantes pour nous, et de croiser de grandes figures archétypiques du Féminin. Il invite à se diriger vers plus de sensibilité, de créativité et de responsabilité dans notre « être au monde ». Personnellement, il me semble que le féminisme ne s’est pas assez soucié du Féminin, et que notre Humanité en a un grand besoin ; il y a urgence !!

Réalisez-vous vos propres Mandalas ?

Absolument. Je réalise pour moi-même chacun des Mandalas que je propose dans le cadre des ateliers de groupe, et aussi dans le cadre des stages individuels, quand je suis concernée à titre personnel par le thème du stage. J’en crée également d’autres qui m’aident au fil de ma vie à aborder de nouvelles étapes, à prendre des décisions, et je ne commence pas un travail intellectuel sans faire auparavant un schéma heuristique qui m’aide à préciser ma pensée et à l’organiser.

Enfin, je crée aussi des Mandalas plus légers et plus ludiques, pour le plaisir de les offrir autour de moi, à l’occasion d’un événement festif, un emménagement, ou une naissance, par exemple. Mais cela n’a rien à voir avec mes stages.

Quels ouvrages recommanderiez-vous à nos lecteurs qui s’intéressent aux Mandalas et à leur application psychanalytique ?

Pour un premier contact avec le sujet :
Manuel de thérapie par le mandala de Ruediger Dahlke. Edition : Le courrier du Livre.